ÉTANT LE PRODIGE

 

 

 

ÉTANT LE PRODIGE

Si l’on vous déclare qu’un prodige va vous être présenté débarrassé de l’image qui mystifie du nom qui qualifie et de la valence qui quantifie attendez-vous alors à ce que l’on ne vous montre rien.
Déjà on s’avise en guise de consolation de vous faire voir du prodige cette inscription cette représentation séparées de cette valorisation et vous avez sous les yeux ce que nous appelons une chose ou bien vous sont montrées l’inscription et la valorisation séparées de la représentation et là vous avez à faire à ce que nous appelons un objet et enfin seules vous sont dévoilées la représentation et la valorisation séparées de l’inscription et ce sera bien ce que nous appelons une idée qu’il vous faut là envisager.

Cette triade qu’on vous fait savoir demande ainsi pour être tout à fait que le prodige soit diminué pour chacune de ses parties d’une unité et ce qu’il désigne ainsi comme chose objet ou idée en montrant dans le même temps deux de ses trois unités est ce que nous appelons un symbole. Une chose est un symbole pour la simple raison qu’elle montre la présence de l’absence de la valorisation : une chose est un prodige diminué de la valorisation. À présent prenez un symbole faisant apparaître unie la valorisation et l’inscription alors c’est l’objet qui émerge là devant vous en venant montrer la présence de l’absence du représentatif : un objet est un prodige diminué du représentatif. Enfin le symbole qui vient figurer la co-présence de la valorisation et du représentatif n’est autre que l’idée et ce qu’elle indique là est la présence de l’absence de l’inscription : une idée ainsi est un prodige diminué de l’inscription. Le prodige diminué tour à tour du représentatif de l’inscription et de la valorisation se change à votre entière guise en autant de symboles que l’on voudra.

La chose, présence de l’absence de la valorisation et co-présence du représentatif et de l’inscription n’est un enjeu pour personne aucune rivalité ne pouvant assurément s’y loger et lorsqu’il vous prend de vous en inquiéter c’est pour la placer à bonne distance comme vous le feriez d’une menace à moins que vous décidant à saisir cette chose dans la forme d’un simple galet pour l’aspect singulier qu’il vous montre et d’enfin le conserver vous en chassiez à l’instant le représentatif qu’il gardait jusque-là en sa réserve pour installer à la place la valorisation dont il était ignoré vous vous retrouviez en possession d’un objet en tant que présence de l’absence du représentatif et de la co-présence de l’inscription et de la valorisation ou bien alors abandonnant le caillou le long du rivage pour une lassitude déconcertante qui vous aurait soudain envahi et ne conservant de lui que l’impression de caresse qu’il aurait laissée dans la paume de votre main vous rappelant à l’instant le soyeux d’un maillot que vous auriez affleuré jadis du bout des doigts, il fait venir l’idée de la personne qui le portait ou plutôt pour contrer cette imbibition par trop brûlante vous revienne celle d’un sofa, il y a bien longtemps remisé que l’on pourrait changer à son avantage en le couvrant d’une soie de Chine puis laissant pour une autre fois les bontés ilioniques de la tapisserie ainsi que le tendre souvenir que vous auriez retrouvé dans de et par cette sensation inespérée le galet qu’ainsi vous auriez préservé du destin d’une idée pour l’avoir gardé et finalement mis dans votre poche placerait à l’instant sous votre seule tutelle la présence de l’absence du représentatif unie à la co-présence de l’inscription et de la valorisation comme son trésor puis une fois rentré chez vous et allant le placer aussitôt pour le bonheur qu’il vous donne sur une étagère dans votre chambre et ainsi lui ménager une place dans votre collection de curiosités alors vous inquiétant d’un coup de l’apparition inattendue de la convoitise au moment de poser la merveille vous alliez placer le tout à l’abri au coffre à moins encore que saisit d’un sombre dépit mettant le galet au panier à l’instant, vous lui retiriez la valorisation et lui redonniez ce qu’auparavant comme le représentatif vous lui aviez retiré en le prenant ou bien encore éloignant le dévolu de son renvoi parmi les choses pour le garder bien auprès de vous en préservant le représentatif et laissant dans le même temps le périlleux de l’inscription pour la promesse radieuse de la valorisation vous ne préfériez de la sorte vous offrir à ce moment en guise d’idée un presse-papiers à votre idée.

Vous pouvez tout autant prendre l’idée comme entrée pour lire l’inscription de la peinture et c’est la présence de l’absence de l’inscription joint à la co-présence de la valorisation et du représentatif qu’il vous faudra accueillir et si d’emblée vous la sentez infiniment désirable pour le simple fait qu’elle est un apaisement de l’ennui la corporéité aérienne qui l’anime faisant de sa capture une gloire et de son saisissement une inquiétude aura tôt fait de vous l’attacher et il vous reviendra alors de tourner cette gloire inquiétante en un objet aimable avant qu’un simple claquement de doigts ne vienne chiper cette réserve volatile et la transporter sans que vous n’y puissiez plus rien vers les asphyxiantes soufrières où seules vaquent l’inscription et le représentatif à moins qu’à temps vous n’ayez pressé cette idée jusqu’à lui donner corps et par la même installant la présence de l’inscription en place du représentatif vous n’en obteniez un croquis autographe où se laisserait voir l’étendue de vos talents aussi bien que subodorer le gouffre de votre désarroi et quiconque venant à l’improviste dans l’intervalle ouvert là par l’envolée subite de la ligne et la perte continuelle du résultat placer bruyamment la lubie qu’à ce moment il cultive sous la forme d’un nuage d’un mouton ou bien d’une fontaine comme inscription de l’innomé qui retranché en sa fournaise déclare sans jamais se lasser son antériorité en tant que la valorisation et des confins de sa banquise exige sans jamais renoncer à sa déclamation la meilleure place pour la belle représentation ou encore voulant à tout prix éviter ce tintamarre que vous savez trop bien pour le sang qu’il vous ronge, vous fassiez disparaître par une procédure intime et douloureuse cette vision inespérée pour plus tard la faire poser au corps d’une bonbonne et ainsi sous l’appellation musicale d’étiquette, l’idée vienne s’y installer dans la forme de l’impalpable ou bien si la vanité vous poussait à le placer sous verre dans un cadre que les savants du musée par la manière entêtée de vos réclamations viendraient bientôt enlever sur le seuil de votre porte pour le garder dans la réserve aux trésors à l’excuse que les murs n’y suffiraient plus et que sous le nom lumineux de chef-d’œuvre l’idée paisible-ment file dans la pénombre enjouer l’âme du copiste par les atours singuliers que délivre son numéro sur la page maculée du registre ou encore vous faisant raison par avance en laissant de côté un avenir assuré par le gain d’une idée que par chance insigne il vous serait échu le premier de devoir dévoiler aussi bien que la certitude d’une postérité résolue que vous auriez dilapidée par votre seul empresse-ment tout cela dans le temps même où vous refuseriez l’augure d’une valorisation pour ne plus garder de votre troublante idée que l’inscription et le représentatif alors suivant votre sentiment à l’instant, vous décidiez pour ce que vous savez du guéridon qui dans votre chambre perd son assise à peine on s’y appuie de plier le papier où l’idée innommable s’est exprimée sans autres explications pour qu’il serve à présent de cale alors la chose ressortie de vos doigts qui à présent assure l’immobile puisse garder par-devers elle au sein du silence où se recueille cosmos le représentatif et l’inscription quant à la valorisation autant n’en pas parler trop fort au cas où la parole ainsi lancée ne revienne vite en bourrasque pour défaire en un instant ce que l’idée par simple souci d’équilibre à mis un si long temps d’accoucher.

A présent vous pouvez entrer dans l’inscription picturale en préférant l’objet pour la réserve de la présence de l’absence du représentatif unie à la co-présence de la valorisation et de l’inscription qu’il vous offre et à l’instant vous l’attachant penser ainsi apaiser un insatiable besoin de renforcement pour satisfaire votre tentation innée pour le désir à moins que pour éviter le vertige insurmontable que vous donnerait le sentiment amer d’un flux subitement impétueux prêt à vous submerger tout entier et où viendraient se lier au petit bonheur pour vous perdre le désir au renforcement le besoin à la tentation et l’inné à l’insatiable si ce n’est l’inné au renforcement l’insatiable au désir et la tentation au besoin ou bien pour ne rien arranger le besoin du renforcement de la tentation, l’insatiable désir de l’inné ou le besoin inné du renforcement ou encore et par une sorte d’ultime confusion la tentation innée du besoin de l’insatiable renforcement du désir ou encore le besoin insatiable de l’inné du renforce-ment de la tentation et tout ce qui se trouve comme abîme de même catégorie, vous décidiez à l’instant emporté en cela par un soudain mouvement de sauvegarde d’en faire présent au premier venu ce qui peut sembler pour une personne qui vous verrait à ce manège une idée saugrenue mais qui est pour celui qui le reçoit une offense ou une aubaine selon l’idée qu’il s’en fait ainsi vous déchargeant par ce geste irrépressible du souci de l’heure d’un premier venu sur cet élu abasourdi recevant cet insigne plutôt volumineux qui changera pour vous en lointain sans même vous en ayez la moindre idée la présence de l’absence de l’inscription unie à la co-présence du représentatif et de la valorisation ou aussi bien pour échapper a un destin désolé et cosmique reprenant votre goût par une manière de réflexion qu’une idée jusque-là trop proche aurait d’un coup révélée pour une nouveauté, vous n’alliez placer cet objet expurgé à l’instant de son caractère encombrant pour devenir une simple chose par là même toujours déjà n’importe où comme réserve et que l’on peut à ce titre installer à sa guise où bon nous semble flanqué à une cimaise la tête en bas pour en faire une gloire bluffant le spectateur ou encore dans la vitrine de l’exposant pour y apporter l’inquiétude sans jamais pour autant circonvenir à l’attribution de la présence de l’absence de l’inscription comme poème ou scandale comme on voudra.

A présent examinons ce que montre la peinture en tant qu’inscription sous la forme d’un simple nom. Il vient à la place de l’objet dire la valence qu’on lui a confié comme attente d’une assomption exemplaire dans le même temps que le représentatif lui est échu pour l’accueil d’une forme obligée. Le nom se présente tout autant et dans les mêmes termes qu’il est présenté par la valence et le représentatif qui le jouxte dans la picturalité. Orgueil de l’objet, il en est l’idéal indicible, son énonciation porte la marque de cette démesure et si l’on peut prendre l’un pour l’autre prendre le mot pour l’objet c’est bien le désir l’action ou encore l’intention que nous aurons en la déposition picturale du nom. Le désir de l’objet est à présent tout autant action et intention de celui qui à nommé l’objet que le désir de tentation et d’action de l’objet lui-même et aussi désir de ceux qui désirent que la peinture les désire pour avoir l’insigne plaisir de goûter qu’ils sont les désirés de la voix du langage qui donne les noms. Le nom ainsi à la vertu de présenter à lui seul trois versions et les marques voisines que sont la valence et le représentatif en présentant chacun aussi trois comme nous l’allons voir aussi pour le représentatif et la valence, il faut vous résoudre en regardant une peinture de notre atelier à voir cette triple présence picturale en tant que co-présence de neuf valeurs réparties en les trois catégories que nous avons vues ainsi quel que soit le signe que vous preniez comme élément de votre entrée pour lire la peinture c’est toujours l’ensemble de ces propositions qui vient lier le désir l’action et l’intention pour poser une heure qui est la leur et que vous pouvez vous figurer de neuf manières différentes pour que l’esprit d’une pensée soit à présent certainement déposé puis dégagé d’un objet supposé et invisible mais qui toujours déjà érigé sous la forme du prodige lui fait face en tant qu’un analogue et qui ne se sait pas.

Entrons à présent par le représentatif et voyons ce qui arrive par la forme simple d’une image. Elle se présente en place de l’objet comme son autre et son air de petit nuage irisé perdu dans l’immensité de la confusion du spectre qu’est le blanc est saisi par la déposition enjouée de la couleur. Image de l’objet, sa réplique en somme, elle se présente pour inscription ou reprise d’une souffrance détenue en même temps que la valence atteste d’un espace de la retenue. L’image se montre pareillement et dans les mêmes termes qu’elle est présentée par l’inscription ou la valence qui la jouxte en picturalité. Abandon de l’objet, elle en rapporte la coulée, sa figure en exprime la corruption obligée et si l’on peut prendre l’image pour l’objet ou l’un pour l’autre c’est encore le désir l’action et l’intention que nous aurons dans la déposition des couleurs de l’objet. Le désir de l’objet est à présent tout autant action et intention de celui qui a représenté l’objet que le désir de tentation et d’action de l’objet lui-même et qu’enfin le désir de ceux qui désirent que la peinture les désire pour avoir l’insigne plaisir de goûter qu’ils sont les désirés de la voix du langage qui donne les images. L’image a ainsi la puissance de nous montrer trois versions ses voisins la valence et l’inscription en présentant chacune aussi trois il faut se familiariser pour l’examen d’une peinture de notre atelier à regarder cette proposition picturale à trois entrées en tant que co-présence de neuf valeurs réparties en les trois catégories que vous savez ainsi quelque soit le signe que vous choisissiez comme élément de votre engagement pour connaître la peinture c’est toujours l’ensemble de ces propositions qui viendront à l’instant lier le désir l’action et l’intention pour poser une heure qui est la leur et que vous pouvez vous figurer de neuf manières différentes pour qu’à présent l’esprit d’une pensée soit certainement déposé puis dégagé d’un objet supposé et invisible mais qui toujours déjà érigé sous la forme du prodige lui fait face en tant qu’un analogue et qui ne se sait pas.

Voyons à présent ce que déclare la peinture en tant que valence sous la forme singulière d’une fraction mathématique. Elle vient à la place de l’objet dire l’inscription dont elle est l’obligé comme projection d’une adéquation initiale dans le même temps que le représentatif attribue la présence de l’absence d’une ligne. La fraction tout autant et de la même manière qu’elle se présente est présentée par l’inscription et le représentatif qui l’accompagnent dans la picturalité. Hantise de l’objet, elle en est le repentir avéré, sa figure montre bien le fait de sa partition et si l’on peut prendre l’une pour l’autre la fracture pour l’objet c’est le désir l’action et l’intention dont vous serez alors gratifié par la déposition picturale de la valence. Le désir de l’objet est ainsi à présent tout autant action et intention de celui qui attribue la valence de l’objet que le désir de tentation et d’action de l’objet lui-même et aussi le désir de ceux qui désirent que la peinture les désire pour avoir l’insigne plaisir de goûter qu’ils sont les désirés de la voix du langage qui donne les valences. La fraction a donc le pouvoir de proposer à elle seule trois formes d’entrées dans la lecture et les deux autres le représentatif et l’inscription en présentant chacune aussi trois il faut en regardant une peinture de notre atelier saisir cette triple présentation picturale ou co-présence de neuf valeurs réparties en trois catégories ainsi quel que soit le signe que vous preniez comme élément de votre engagement pour savoir la peinture c’est toujours l’ensemble de ces propositions qui viendront à l’instant lier le désir l’action et l’intention pour poser ici une heure qui est la leur et que vous pouvez vous figurer de neuf manières différentes pour qu’à présent l’esprit d’une pensée soit certainement déposé puis dégagé d’un objet supposé et invisible mais qui toujours déjà érigé sous la forme du prodige lui fait face en tant qu’un analogue et qui ne se sait pas.

Voyons ensemble à présent ce qu’est une fraction et ce qu’en fait placée dans la picturalité, elle vient nous dire. Pour faire court puisqu’il vous faudra consulter sur d’autres pages les suites de ce problème ce que la fraction montre comme son image est le nécessaire éloignement de la présence de l’absence de l’équité ou le résultat comme lègue du don de l’objet en tant que langage.

Voyons à présent ce qu’est une image et ce qu’elle vient exposer dans la picturalité. Une image nous dit qu’elle est une source du ciel alors c’est bien de ces lointains éthérés que ce qui répond du nom de nuages donne l’averse tel un charme et nous rappelle par une forme inscrite dans le fugace d’un effilochage qu’à notre entour seront toujours les moutons et les figures que les hommes ont barbouillées pour inscrire le nécessaire éloignement de la présence de l’absence de profusion ou le résultat comme lègue du don du nom en tant que langage.

Voyons ce qu’est un nom et ce qu’à présent dans la picturalité, il vient délivrer. Un nom par la forme même de son inscription nous dit qu’il est le flux du multiple posant l’identité comme exorbitant devoir d’y atteindre et sa présence même dans le très vague d’une chose vient imposer par la marque indélébile qu’elle inflige le nécessaire éloignement de la présence de l’absence du digital ou le résultat comme lègue du don de l’image en tant que langage.